by Bruno Morello
Touché à l’instant
Par un cauchemar soudain
Je mords la poussière
Flingué par un remords minable
Et partant je ne sais où
Je deviens ce quelqu’un
Libre comme la mort
Et dans la torture infecte
D’un statisme froid qui me fige
Libre comme la mort
Qui est toujours le fait de ne plus se sentir exister
Dans un râle court que j’évacue
J’ai la force ultime d’exprimer :
Au secours, je suis le baiser qu’on tue
lundi 23 avril 2012
Last updated April 25, 2012